Les dérapages
de Bernard Kouchner...

mars 2008

 

c Au Rwanda, Kouchner demande " pardon " pour un crime que la France n'a pas commis. Le 26 janvier 2008, lors de son séjour à Kigali, il a déclaré que la France avait " certainement commis une faute politique " au Rwanda quand, en 1994, une vague génocidaire ravageait le pays.

c Dans le " New York Times " du 3 février 2008, Kouchner fait porter à l'Élysée la responsabilité de l'échec de " sa " médiation au Liban. Au cours de la deuxième moitié de l'année 2007, notre ministre des Affaires étrangères a effectué plusieurs déplacements à Beyrouth afin de pousser le Parlement à élire un Président de la République. Certes, l'Élysée a commis un pas de clerc en demandant l'aide de la Syrie, cette dernière ne souhaitant qu'une chose, l'onction internationale pour revenir au Liban. Mais Kouchner oublie son arrogance et ses diktats à l'adresse de la classe politique libanaise. Il est au moins aussi coupable que l'Élysée. En prime, il dénigre la France, et son gouvernement dans les colonnes d'un journal étranger. Du jamais vu.

c16 et 17 février, Kouchner se rendait en Israël et dans les territoires occupés de Cisjordanie. " Il faut rendre l'espoir, a-t-il dit devant les caméras de France 2, et pour rendre l'espoir aux Palestiniens, il faut améliorer leur vie quotidienne ". Erreur, il faut leur rendre leur terre. On imagine mal Kouchner osant le dire.

c Le 12 février, interrogé par Al-Arabiya, chaîne de télévision arabe, à propos d'un enfant-soldat détenu à Guantanamo, Kouchner a répondu : " Je ne fais aucune différence entre les prisonniers ". Le garçon en question, Omar Khadr, avait 15 ans, quand le 27 juillet 2002, il a été capturé par les Américains dans une position d'Al-Qaïda (Voir dans les Brêves: Un enfant de 15 ans prisonnier de guerre des USA)

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

 

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