QUI VEUT LA PEAU
DE L’ORÉAL ?

septembre 2010

Tout commence par une banale dispute entre une vieille dame riche et généreuse, Liliane Bettencourt, et sa fille, Françoise Bettencourt-Meyers. En décembre 2007, soudain prise d’une compassion que l’on veut croire désintéressée, l’héritière accuse un certain François-Marie Banier d’abus de faiblesse à l’endroit de Mme Bettencourt, pour lui soustraire d’importantes sommes d’argent. La fille veut soumettre sa mère à une « expertise médico-psychologique », avant de la mettre sous tutelle ou du moins sous curatelle. On nage dans le sordide, mais l’histoire ne passionne personne.
Puis, le 16 juin 2010, Mediapart, un site d’information sur Internet, lance un pavé dans la mare : il publie les extraits d’enregistrements, effectués dans l’intimité de Mme Bettencourt, établissant des liens entre Éric Woerth, actuel ministre du Travail, mais surtout ancien ministre du Budget. Du coup, secret de polichinelle, on révèle que la femme de ce dernier, Florence, gère la fortune de Mme Bettencourt depuis 2007 au sein de la société Clymène. Une situation inconfortable pour un ministre du Budget, chargé de la collecte de l’impôt et de la détection des évasions fiscales quand, du même coup, on découvre que Mme Bettencourt, ou ses gestionnaires, ont oublié de déclarer des biens à l’étranger.

Le scandale Woerth-Bettencourt prend son essor. Puis, avec une étonnante soudaineté, comme dans un feuilleton bien réglé, les révélations éclatent les unes après les autres : une Légion d’honneur remise au principal gestionnaire de la fortune de Mme Bettencourt par Woerth, les accusations de la comptable de celle-ci portant sur des remises d’argent au futur ministre du Budget et même à Nicolas Sarkozy. Puis on en vient à accuser Woerth d’avoir bradé l’hippodrome de Compiègne, un bien de l’État, à une société amie. Sans être un grand fan du ministre, on sent dans tout cela de l’acharnement. Mais pourquoi ? Et, surtout, venant de qui ? Nous avons enquêté. Derrière l’affaire Woerth-Bettencourt, se cache autre chose : le sort de L’Oréal.

 

SCHUELLER
ET LA CAGOULE

Les origines de L’Oréal remontent à 1907, quand Eugène Schueller, jeune ingénieur chimiste, invente une formule baptisée Oréal, permettant de teindre les cheveux. Il crée une société en 1909, afin de fabriquer et de distribuer le nouveau produit, et s’installe dans un deux pièces rue d’Alger, à Paris.
L’affaire marche rondement et, en 1928, Schueller achète Monsavon.
C’est l’entrée dans la cour des grands. Mais Schueller a aussi des opinions politiques. Grâce à sa fortune croissante, comme plusieurs grandes familles françaises, il finance généreusement le CSAR, plus connu sous le nom de la Cagoule (1). Organisation d’extrême droite, elle est apparue dans les années trente, pour faire face à la vague communiste, qui menaçait alors de submerger la France. Elle jouissait du reste du soutien de nombreux officiers de l’armée. Certes, elle est responsable de plusieurs actions criminelles, mais on oublie trop souvent que la violence de leurs ennemis n’est pas moindre et la passivité de l’État, déjà, souvent inquiétante.

L’OCCUPATION

Puis vient la guerre et la défaite. Il faut choisir entre la révolte ouverte, option tant critiquée aujourd’hui quand elle émane des Afghans ou des Irakiens, ou la collaboration avec l’occupant, comme on trouve normal aujourd’hui de l’exiger des Palestiniens. Schueller, avec plusieurs anciens de la Cagoule, préfèrent le second choix, croyant ainsi préserver les intérêts de la France.

Au moment de la Libération, du reste, les choses apparaissent moins tranchées que certains veulent le faire croire. Traduit en Justice, Schueller se
voit relaxé de toutes les accusations portées contre lui. Des résistants ont témoigné en sa faveur, dont le général Pierre de Bénouville et Max Brusset ou le communiste Jacques Sadoul. Plus significatif encore, des Juifs, aidés par l’accusé sous l’occupation, apparaissent à la barre pour plaider sa cause. Ses contempteurs oublient que les services rendus à la Résistance valurent à Schueller de recevoir la Croix de Guerre et la Légion d’honneur.

PATRIE ET FIDÉLITÉ

Il aurait pu, pour s’éviter tout désagrément et cultiver ses intérêts, prendre des distances de ses anciens amis de la Cagoule. Il n’en fait rien et leur offre même des emplois dans son entreprise, quand partout on leur claque la porte au nez. Entre autres, il installe Henri Deloncle, frère du fondateur de l’organisation, à la tête d’une succursale ouverte en Espagne. Il y donne même du travail à Jean Filliol, homme de main de la Cagoule, qui échappe ainsi à sa condamnation à mort par contumace en France.

Parmi ses protégés, on trouve aussi François Mitterrand, auquel il confie brièvement la direction du magazine Votre Beauté, le temps de lui remettre le pied à l’étrier. Car il faut se souvenir, étudiant et séjournant au foyer des Pères Maristes, rue de Vaugirard à Paris, le jeune Mitterrand professait des idées nationalistes et faisait même partie de l’entourage de la Cagoule.

Après la guerre, L’Oréal prend un essor exceptionnel et deviendra une multinationale, numéro un mondial dans le domaine des cosmétiques et des produits de beauté. À la mort de Schueller, en 1957, François Dalle reçoit les rênes de l’affaire. Lui aussi est passé autrefois par le foyer des Pères Maristes de la rue Vaugirard.

LES FRÈRES FRYDMAN

En 1988, Dalle décide d’adjoindre une filiale spécialisée dans l’audiovisuel aux nombreuses activités de L’Oréal. Il crée Paravision en association avec Jean Frydman, un ami croit-il. Frydman n’est pas un anonyme. Né à Paris dans les années 20 de parents juifs polonais, à quinze ans, en 1940, il cherche d’abord à fuir la France mais, empêché par les autorités, il rejoint la Résistance. Arrêté par la Gestapo en 1944 et condamné à mort, il raconte lui-même comment il fut tiré de prison de manière inexplicable par Aloïs Brunner, un criminel de guerre nazi.

En 1989, Frydman et son frère David quittent la société Paravision. Un désaccord éclate alors, les deux frères voulant revendre les 25% dont ils sont actionnaires à un prix trop élevé au gré de Dalle. Un expert est désigné, mais Jean Frydman refuse son évaluation en même temps qu’il accuse Dalle de l’avoir exclu de Paravision « parce ce que je suis un Juif » éclate-t-il.

Il est vrai, L’Oréal se trouve alors dans une forte tourmente, les Arabes ayant décidé de boycotter ses produits en raison de ses relations avec l’État d’Israël. Admise par les deux côtés, une réunion a eu lieu pour évoquer ce sujet, Frydman jouissant aussi de la nationalité israélienne. Selon ce dernier, il aurait été tout simplement éjecté, quand pour Dalle et ses amis, ils auraient décidé d’un commun accord de se séparer.

On peut présumer, le désaccord sur le prix des actions rétrocédées aux Frydman, la véritable cause d’un différend qui prend alors des allures de tragi-comédie.

Dressé dans la posture de la victime de l’antisémitisme, Frydman se met à « déballer » devant qui veut l’entendre le passé de L’Oréal, et surtout celui de l’occupation, comme s’il les découvrait.


ANDRÉ BETTENCOURT

Un homme est particulièrement visé par ses attaques. Il s’appelle André Bettencourt. Il connaît bien Mitterrand, Dalle et Bénouville, pour avoir vécu, lui aussi, avant la Guerre, dans le foyer de la rue de Vaugirard. C’est du reste lui, qui présenta Dalle à Schueller sous l’occupation et le fit embaucher.

En juin 1950, Bettencourt a épousé Liliane, la fille de Schueller, et occupe la vice-présidence, puis la présidence de L’Oréal depuis la mort de son beau-père. Il a aussi été député, de 1951 à 1977, est sénateur depuis cette dernière date et a été ministre dans plusieurs gouvernements, sans interruption de 1954 à 1973.

Or, ce que chacun sait dans le Tout-Paris, pendant la Guerre, Bettencourt a aussi écrit dans la « La terre française », un hebdomadaire inféodé à l’occupant, particulièrement virulent contre les Juifs. Dans le numéro du 12 avril 1941, on pouvait lire de sa plume: « Les Juifs, les Pharisiens hypocrites n’espèrent plus. Pour eux l’affaire est terminée. Ils n’ont pas la foi. Ils ne portent pas en eux la possibilité d’un redressement. Pour l’éternité leur race est souillée par le sang du Juste » (2). En d’autres termes de Jésus-Christ.

Il semble que l’on ait beaucoup exagéré l’importance des activités de Bettencourt aux côtés des Allemands, grâce à un Frydman que la colère pousse à arranger la vérité à son gré. Il va jusqu’à l’accuser d’avoir été le patron en France de la « Propaganda Staffel », l’organe de la censure des Allemands. Une affirmation dénuée de sens.

Surtout, c’est oublier l’autre partie de la guerre de Bettencourt. En 1943, il rejoignit la Résistance et aida même Mitterrand à se rendre à Londres en avion. Arrêté par la Gestapo, il parvint à s’évader pour continuer ses activités aux côtés de la France Libre. En récompense, il a reçu la Croix de guerre, la rosette de la Résistance et la Légion d’honneur.

 

L’ORÉAL ESCROQUÉ

Pas aussi blanc qu’il voudrait le laisser croire, Frydman se voit à son tour mis sur le gril. En mars 1992, deux fax arrivent par erreur chez Paravision, la société cause du conflit entre lui et Dalle. Ils émanent d’une autre entreprise, Millenium, qui achetait ou vendait des films à Paravision. Les responsables de L’Oréal découvrent alors que les frères Frydman se servaient de sociétés écrans pour acheter des films et les revendre ensuite trois ou quatre fois leur prix à Paravision. L’escroquerie porte sur des millions de francs.

Les attaques de Frydman finissent par mettre un terme à la carrière de Bettencourt. Peu importe la vérité, chez L’Oréal comme ailleurs, on n’aime guère le scandale et en février 1995, il quitte la présidence du groupe.

Mais en marge de cette affaire de gros sous, il convient déjà de se demander quelles étaient les motivations de Frydman.
Il s’avère être, entre autres choses, une éminence grise de l’État d’Israël. Il a servi aux côtés de Shimon Peres et d’Yitzhak Rabin dans de nombreuses affaires, y compris lors des accords d’Oslo (3).

Il est raisonnable de penser, qu’approchant L’Oréal, Frydman était en mission, cherchant à pénétrer l’un des fleurons de l’économie française pour le compte d’intérêts qui, au cours des années, vont laisser des traces de leurs intentions. Le sentiment d’un échec, ajouté à la fureur de ne pas obtenir ce qu’il voulait, ont poussé l’associé de Dalle à ce déballage haineux, à mi-chemin de la calomnie.


L’ALLIANCE L’ORÉAL-NESTLÉ

Au cours des années, L’Oréal prend la forme d’un véritable trust, auquel s’arriment de nombreuses succursales. L’ensemble représente une force mais, comme on le voit déjà apparaître dans l’affaire Frydman, attire aussi les convoitises et, par conséquent, suscite des attaques afin de lui nuire, voire d’en prendre le contrôle. L’état-major de l’entreprise pense à se protéger. Pour cela rien ne vaut une alliance avec une autre structure.

En 1974, un accord a été passé avec Nestlé, multinationale suisse basée à Vevey, dans le canton de Vaud. Les deux groupes constituaient alors une holding(4) dénommée Gesparal. Début 2004 (5), cependant, Nestlé et la famille Bettencourt changent la formule. Dans la pratique, Gesparal perd son rôle et ses deux composantes juridiques deviennent les actionnaires en direct de L’Oréal. Environ 27,5 % des actions reviennent à la famille Bettencourt et 26,4% à Nestlé.

Détail important, ce nouvel accord impose aux signataires de ne pas tenter d’augmenter leurs participations respectives dans L’Oréal... pour une période de cinq ans. Ce point est à mettre en valeur. Cinq ans après cet accord, nous arrivons au début de l’année 2009.

Or comme nous le savons, c’est en décembre 2007, un an avant la fin de l’accord entre Nestlé et la famille Bettencourt, que Françoise Bettencourt-Meyers, la fille, prétendra mettre sa mère sous tutelle. La proximité de ces deux dates nous amène à nous interroger sur la possibilité d’une relation entre l’initiative de la fille et la fin de l’accord Nestlé- Bettencourt.

 


En novembre 1988, de gauche à droite, Liliane Bettencourt, André son mari décédé en 2007, Françoise et le gendre, Jean-Pierre Meyers.

 

 

Il faut en effet savoir que, depuis 1992, Mme Bettencourt a déjà fait une donation de ses actions à sa fille. Néanmoins, si cette dernière est détentrice du capital, sa mère en a conservé l’usufruit. En d’autres termes, elle continue de recevoir les dividendes et dispose du droit de vote au conseil d’administration de L’Oréal. Elle garde donc le pouvoir et, chose importante, les actions détenues en droit par la fille ne peuvent pas être vendues sans l’accord de la mère. Ne serait-ce pas ce verrou, que Françoise, la fille, voudrait faire sauter en obtenant de placer sa génitrice sous tutelle ?
Mais alors, pour quelle raison ? Françoise n’est pas dans le besoin, que l’on se rassure, elle n’est pas non plus une affairiste et consacre au contraire l’essentiel de son temps à l’étude. Il faut bien chercher ailleurs sa motivation !

UN CERTAIN
JEAN-PIERRE MEYERS


Penchons-nous sur sa biographie. Fille unique du couple Bettencourt, Françoise est née le 10 juillet 1953 à Neuilly. Elle a été élevée dans une atmosphère chrétienne à laquelle elle reste très attachée. Aussi, pour briser le verrou de la piété filiale, fallait-il à Françoise une solide sollicitation.

Un faisceau de bonnes raisons conduit à s’interroger sur le rôle de son mari. À cet égard, un document reproduit par l’UPJF, « Union des Patrons et Professionnels Juifs de France » et produit par la « Ligue de Défense Juive », nous semble déterminant (6).

On lit : « Françoise Bettencourt rencontre à Mégève son futur époux, Jean-Pierre Meyers, lui-même petit-fils d’un rabbin. Ils ont deux fils, Jean-Victor (né en 1986) et Nicolas (né en 1988), élevés dans le judaïsme. Tout en assurant son rôle aux côtés de son mari à la direction de L’Oréal, Françoise Bettencourt-Meyers se consacre au piano et à l’étude de l’exégèse biblique. Elle publie notamment une somme en cinq volumes dont Bernard-Henri Lévy salue l’érudition ». Les compliments de BHL ne manqueront pas de faire sourire nos lecteurs.

Nous nous étonnons de l’aspect fortuit de la rencontre de Françoise et Jean-Pierre, en 1983, sur les pistes de Mégève. Jusque-là, l’homme n’avait guère brillé. Assistant professeur à l’école supérieure de commerce à Rouen, en 1972 il était entré comme employé à la Société générale, avant de se faire admettre en 1980 à la banque protestante Odier Bungener Courvoisier.

En avril 1984, son mariage avec Françoise change sa vie. Après un stage calibré pour personnalités appelées à de hautes fonctions dans le groupe, Meyers siège au conseil d’administration de L’Oréal à partir de 1987. Dans le même temps, en raison des accords passés avec la maison suisse, en 1991, il entre au conseil d’administration de Nestlé. Une promotion bien rapide et difficile à expliquer autrement que par son mariage.

Plus intriguant, lors de l’affaire Frydman, Meyers entre en relation avec Serge Klarsfeld, « le chasseur de nazis » comme on l’appelle, qui a fait cause commune avec le même Frydman. Puis, en février 1995, quand André Bettencourt quitte la présidence de L’Oréal dans un geste d’apaisement, Meyers accède immédiatement au directoire en devenant vice-président du groupe. Comment ne pas voir là le résultat d’un compromis ? « Vous remplacez Bettencourt par un homme de notre communauté et nous nous taisons ! »

Dans le document sur Schueller, auquel nous faisons référence plus haut, la Ligue de Défense Juive (6) va jusqu’à dire : « Y aurait-il une dimension juive dans la brouille entre la mère et la fille ? » Poser la question revient à y répondre, confortant nos soupçons.

Ceci apparaît d’autant plus grave que d’autres questions, aux réponses tout aussi évidentes, amènent à soupçonner une machination. Comment croire, en effet, le majordome, une secrétaire et un chauffeur de Mme Bettencourt se livrant simultanément à de graves révélations sans y avoir été invités par quelqu’un ?

Comment croire encore que, dénonçant ou calomniant leur ancienne patronne et, pour cette raison, prenant le risque de ne plus jamais trouver de travail dans leurs métiers, ces anciens employés n’aient pas bénéficié d’un « dédommagement » ? En d’autres termes, nous sommes en droit de soupçonner leurs trahisons intéressées et sollicitées.

On s’étonne enfin de l’accumulation de révélations déversées dans un temps aussi réduit, contre Woerth et Mme Bettencourt, comme si tout cela était dans un tiroir, prêt à la livraison aux médias.

À l’Élysée, pour une fois, on semble avoir pris la dimension du danger. Dans cette affaire, donnant la préférence à sa mission de défenseur de la France au détriment de ses empathies, Nicolas Sarkozy a défini les limites des camps : d’une part celui de Mme Bettencourt, pour un L’Oréal restant français avec le soutien du gouvernement. D’autre part, celui des attaquants, de l’intérieur ou de l’extérieur, auxquels il faut bien reconnaître des liens avec une certaine communauté juive. Ceci explique les attaques lancées contre Woerth. Par ses anciennes positions de grand argentier de l’UMP et de ministre du Budget, il est le maillon faible, sujet à tous les soupçons. Quand la France est en jeu, les divergences d’opinions doivent s’oublier.

 

Notes

(1) Le CSAR (Comité secret d’action révolutionnaire), ainsi dénommé à la suite d’une faute commise par un informateur, s’appelle en réalité l’OSAR (Organisation secrète d’action révolutionnaire).
(2) Cité par « l’Humanité » le 14 février 1995. On peut faire confiance à ce journal pour avoir trouver les écrits de Bettencourt les plus percutants. Ne figurent pourtant que deux citations dans l’article, la seconde étant : « La dénonciation serait-elle un devoir ? Oui, dans la mesure où celle-ci sert la collectivité ». Encore ne connaissons-nous pas le contexte.
(3) Dans les entretiens de Frydman enregistrés par Agnès Chaveau.
(4) Une holding est une structure juridique permettant de regrouper les parts de plusieurs sociétés dans le but, les arrimant les unes aux autres, de susciter une synergie commune ou de rendre ces sociétés plus fortes face à l’environnement social et économique.
(5) Le communiqué est daté du 3 février 2004. La décision a été néanmoins prise plus tôt.
(6) Le document est daté du 3 juillet 2010. Il convient de le rappeler, la Ligue de Défense Juive, connue aux États-Unis sous le nom de « Jewish Defense League », est qualifiée par par le FBI d’organisation « juive, violente et extrémiste » dans le rapport sur le terrorisme 2000-2001. Elle s’est rendue coupable de plusieurs assassinats.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

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