LE MONDIALISME EN MARCHE
Les hommes de Barak Obama

décembre 2008

Il est encore tôt pour savoir quelle politique va mener le nouveau Président des États-Unis à partir du 20 janvier 2009, jour de son investiture. Nous laissons de côté la politique fiction sur les réformes intérieures, en particulier sociales, qu'il pourrait conduire. Ce chapitre, rappelons-le, dépend d'abord de la situation économique du pays. Le reste du monde se voit bien plus concerné par la politique étrangère de Washington. Certes, Obama apparaît moins va-t-en guerre que son prédécesseur. Mais, comme le remarquait John Tuck, un ancien conseiller du Président Ronald Reagan, " Le pauvre homme a les mains liées. Je ne connais pas ses projets, mais sa marge de manoeuvre est très faible ". Le poids des mondialistes et des pro-israéliens dans l'entourage d'Obama confirme le constat de Tuck.

Sur 69 personnes que nous avons pu identifier dans l'entourage politique immédiat de Barak Obama, dont de futurs membres de son gouvernement, 24 au moins sont membres d'organisations mondialistes ou, comme Rahm Emanuel, très proches d'Israël. Nous dressons la liste non-exhaustive de ces dernières.

Joseph Biden : Vice-président. Plus sioniste que s'il était Israélien (voir dans Brèves 2008 la déclaration de Biden sur Shalom TV).

Rahm Emanuel : nommé secrétaire général à la Maison Blanche. Israélien de naissance, il soutient la politique de son pays d'origine. Il a voté pour la guerre en Irak en tant que membre du Congrès. Pendant l'offensive américaine, il a servi comme volontaire sur une base militaire israélienne.

Tom Daschle : pressenti au ministère de la Santé. Membre du Groupe Bilderberg.

James Steinberg : pourrait devenir conseiller à la Sécurité nationale du Président. Membre du CFR, de la Trilatérale, du Groupe Bilderberg et de l'Institut Aspen.

Madeleine Albright : représentait Obama au G20 à la mi- novembre. Elle appartient au CFR et à l'Institut Aspen.

David Axelrod : nommé à la Maison Blanche comme conseiller pour la Politique intérieure. Proche d'Israël.

Jim Leach : représentait Obama au G20 à la mi-novembre. Il appartient au CFR et à la Trilatérale

Thomas Donilon : membre de l'équipe de transition. Il soutenait la candidature de Joseph Biden. Membre du CFR, de la Trilatérale, du Groupe Bilderberg et de l'Institut Aspen.

Penny Pritzker : pourrait devenir chef du département de la Sécurité intérieure. Membre du CFR.

Thimothy Geithner : pourrait devenir le patron du département du Trésor. Membre du Groupe Bilderberg et du CFR.

Lawrence Summers : lui aussi pourrait aller au département du Trésor. Membre du CFR, de la Trilatérale et du Groupe Bilderberg. Proche d'Israël.

Hillary Clinton : nommée Secrétaire d'État (Affaires étrangères). Était en faveur de l'attaque contre l'Irak. Proche d'Israël. Bill Clinton, son mari, est membre du CFR, de la Trilatérale et du Groupe Bilderberg.

William Dalley : membre de l'équipe de campagne d'Obama. Membre de la Trilatérale.

Laura Tyson : membre de l'équipe de campagne et conseillère d'Obama. Membre du CFR.

Paul Volcker : membre de l'équipe de campagne d'Obama et ancien président de la Banque fédérale. Membre de l'Institut Aspen et de la Trilatérale.

Anthony Lake : conseiller d'Obama. Membre du CFR.

Susan Rice : conseillère d'Obama en politique étrangère. Membre du CFR et de l'Institut Aspen.

Richard Danzig : conseiller d'Obama. Membre de la Fondation Rockfeller.

Dennis Ross : conseiller d'Obama pour le Moyen-Orient. membre du CFR, de l'institut Aspen et du Groupe Bilderberg.

Chuck Hagel : conseiller d'Obama sur l'Irak. Membre du CFR et du Groupe Bilderberg.

Lee Hamilton : conseiller d'Obama. Membre de la Trilatérale et du CFR.

David Boren : conseiller d'Obama. Membre du CFR.

Zbigniew Brzezinski : conseiller d'Obama. Fondateur de la Trilatérale et membre du CFR.

Warren Christopher : conseiller d'Obama. Membre du CFR.

William Perry : conseiller d'Obama. Membre de la Trilatérale.

Reste à savoir combien de temps encore les mondialistes pourront abuser le peuple américain, l'instrumentalisant pour détruire les nations de tous les pays, y compris les États-Unis dont ils se servent.

(Pour information, le CFR (Council on Foreign Relations) a été créé, comme la Trilatérale, par la famille Rockefeller. David Rockfeller siège aussi au Groupe Bilderberg. L'Institut Aspen, dont le siège est à Washington, a créé une branche à Lyon).

 

 

 

 

 L’intox commence pour influencer Obama.

Le 2 décembre, « Associated Press » annonçait une « très probable » attaque biologique contre les États-Unis avant 2013. « L’information » provenait d’un rapport de la « Commission pour la prévention contre les armes de destruction massives et le terrorisme », un centre de recherches inconnu de tous, dirigé par deux anciens sénateurs américains.
Reprise par le nouveau vice-Président,
Joe Biden (Joseph Biden), elle a immédiatement et sans précaution été propagée dans la presse.

Que l’on ne s’y trompe pas : nous ne doutons pas que des organisations terroristes soient intéressées par l’acquisition d’armes biologiques. Si elles y parviennent, les préjudices en vies humaines dépasseront de loin ceux d’une attaque comme celle qui a ensanglanté Bombay du 26 au 29 novembre 2008.

Certes, nous estimons nécessaire, pour un pays, de se protéger contre d’éventuelles attaques. Mais c’est le moment et la manière choisis pour évoquer le sujet, qui nous gênent car ils portent l’empreinte de la manipulation d’opinion.

La méthode n’est pas nouvelle. Une officine quasi inconnue concocte un dossier, le plus souvent, sur commande. Un homme politique important en fait la publicité. Puis, se servant de l’émotion produite par le dossier sur le public, il exerce une pression sur la, ou les, personnes en charge de l’État. Quand l’homme politique en question est le vice-Président des États-Unis, rien de plus facile.

La preuve qu’il s’agit d’une opération destinée à manipuler l’opinion et le futur Président des États-Unis ? Comme nous l’avons vu, les auteurs du rapport fixent un délai, 2013, avant lequel doit se passer l’attaque. Or, ils l’avouent eux mêmes : « Les groupes terroristes manquent encore de connaissances scientifiques et techniques pour fabriquer des armes biologiques ». Dès lors, comment peut-on évoquer une date? Nous ne sommes plus dans la prospective mais dans la prophétie. Il faut dire, choisissant le chiffre 2013, les « experts » auteurs du rapport passeraient presque pour un cénacle de cabalistes.


Barak Obama devrait nommer Daniel Kurtzer comme chargé de mission pour la Maison Blanche au Moyen-Orient. Autrement dit, pour gérer le dossier israélo-palestinien.

Ceux qui ont cru en Obama, une fois de plus, vont déchanter. Kurtzer, par ses origines et son parcours ne se situe pas à équidistance entre les Arabes et les Israéliens. Eduqué au « Yeshiva College » de New York, une institution qui combine études profanes et religieuses hébraïques, il se sent proche de l’Etat hébreu au point d’avoir été un temps membre du conseil d’administration de la ligue israélienne de baseball.

D’autre part, le CRIF, dans ses dépêches électroniques du 3 décembre 2008, annonçait la candidature de Stanley Fisher, actuel gouverneur de la Banque d’Israël, pour occuper le poste de président de la Banque fédérale à New York.

Centre de Recherches sur le terrorisme depuis le 11 septembre 2001
 www.recherches-sur-le-terrorisme.com

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