Logo du GSPC Il faudrait lui attribuer les affrontements avec l'armée tunisienne du 3 janvier 2007, dans la région de Soliman. Il se serait aussi infiltré au Maroc, en Mauritanie et même en Libye. Pas question pour nous de nier la réalité de mouvements islamistes déterminés au pire. En Tunisie, lors des combats, douze d'entre eux sont tombés les armes à la main. Il faut par contre s'interroger sur les possibilités de manipulation. Abdelrazzak el Para Le GSPC est coupable des enlèvements de touristes allemands et suisses dans le Sahara algérien en 2003. Leur chef, Abdelrazzak el Para, un ancien militaire algérien, était capturé au Tchad. Livré à l'Algérie, la Justice l'a condamné à la réclusion à vie. Mais par contumace, l'armée refusant de le livrer. Aujourd'hui, il se promène librement dans le pays. Hassan Hattab Autre cas, Hassan Hattab, ancien chef du GSPC, avait été déclaré tué au combat par les autorités algériennes. Pourtant, quelques mois après sa disparition, il était interviewé en Algérie par le journal "Al Charq Al-Awsat."
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